LA REPUBLIQUE ENNEMIE DE LA FRANCE

Macon   JE NE CHANTERAI PLUS JAMAIS LA MARSEILLAISE, NI SALUERAI LE DRAPEAU DE LA REPUBLIQUE JE VOUS EXPLIQUE POURQUOI...

La France moderne est le produit d’une Révolution orchestrée par des réseaux maçonniques, soutenus par les Rothschild, pour établir une République à leur image et tuer la France et les francais. Un projet qui s’appuie sur des symboles comme le drapeau tricolore, La Marseillaise, et Marianne, des figures comme Philippe Égalité et Voltaire, ainsi que des événements tragiques comme le massacre des Vendéens, et qui culmine avec des lois comme la séparation de l’Église et de l’État et des discriminations orchestrées par des élites maçonniques et juives.

Tout commence bien avant 1789 ; Meyer Amschel Rothschild, fondateur de la dynastie bancaire à Francfort, et ses acolytes décident du régicide des rois Louis XVI de France et Gustave III de Suède, perçus comme des obstacles à leur nouvel ordre mondial maçonnique.

L'Angleterre était à l'époque vue comme un foyer actif de franc-maçonnerie et, c'est à Londres qu'une réunion secrète a eu lieu, regroupant des chefs de loges de plusieurs pays, pour discuter de la « nécessité » de transformer l'ordre européen. pour instaurer des républiques sous leur contrôle.

L’abbé Augustin Barruel, prêtre jésuite et écrivain contre-révolutionnaire, a exposé dans son ouvrage "Mémoires pour servir à l’histoire du jacobinisme" (1797-1798) la thèse d’un vaste complot antimonarchique. Il écrit que certains francs-maçons, alarmés par la radicalisation d’une faction interne, auraient révélé un projet secret visant à renverser les monarchies européennes, incluant l’exécution de Louis XVI et l’assassinat du roi de Suède. Selon Barruel, ce complot a été discuté dès les années 1770 lors de réunions occultes où, la destruction des trônes et des autels, figurait au cœur du programme révolutionnaire.

Ce projet de régicide marque le début d’une Révolution planifiée, qui éclate officiellement en 1789 et s’accompagne de symboles puissants, à commencer par le drapeau tricolore bleu, blanc, rouge. Ce dernier trouve ses origines dans les armoiries de la famille d’Orléans. Il devient le drapeau national en 1794, officialisé par le peintre Jacques-Louis David avec des bandes verticales, un choix inspiré par la maison d’Orléans. Philippe Égalité, figure clé de cette période, est directement lié à ce symbole. Le bleu azur et le rouge représentent Paris, la capitale des révolutionnaires, tandis que le blanc symbolise la monarchie, désormais coincée entre les deux couleurs, illustrant la victoire de la République.

Louis-Philippe Joseph d’Orléans, plus connu sous le nom de Philippe Égalité, incarne l’influence maçonnique dans la Révolution, il devient grand maître du Grand Orient de France en 1773, une obédience qu’il contribue à fonder et, admirateur des idées des Lumières. Il s’engage dans la Révolution et vote la mort de son cousin Louis XVI en 1793, un acte de trahison dénoncé par les royalistes, mais cohérent avec le plan de 1775 orchestré par Rothschild.

En février 1793, il renie publiquement la franc-maçonnerie dans le Journal de Paris, déclarant qu’une République ne doit tolérer ni mystère ni assemblées secrètes, mais cela ne le sauvera pas. Les Montagnards, un groupe politique influent représenté à la Convention nationale entre 1792 et 1795, le voyant comme un opportuniste, le font exécuter en novembre 1793. Il ouvre la voie à une République façonnée par ses idéaux maçonniques, soutenus par des forces financières puissantes.

Le plan de 1770 se concrétise avec les régicides.

Rothschild finance les réseaux révolutionnaires dans le but d'exécuter Louis XVI, guillotiné le 21 janvier 1793 après un procès où la Convention nationale le reconnaît coupable de trahison, mettant ainsi fin à la monarchie française. Il est également derrière l’assassinat de Gustave III de Suède, tué le 16 mars 1792 lors d’un bal masqué à l’opéra de Stockholm par des conspirateurs influencés par les idéaux révolutionnaires français. Gustave III, opposé aux idées des Lumières et allié à Louis XVI, devait être éliminé pour affaiblir les monarchies européennes. Cette opération, dans laquelle Rothschild joue un rôle clé, achève son projet de régicide.

Parallèlement, un personnage abject, entre en scène : Voltaire, initié à la franc-maçonnerie en 1778, apporte une caution idéologique à la Révolution. Il voue une haine profonde à la chrétienté, qu’il considère comme un frein à la raison et à la liberté. Dans une lettre adressée à Frédéric II de Prusse en 1767, il écrit : « Il faut écraser l’infâme », désignant l’Église catholique, qu’il accuse de fanatisme et d’oppression. Voltaire propage ainsi ses idées anticléricales, qui inspirent les révolutionnaires dans leur campagne de déchristianisation.

Dès 1792, la République ferme les églises, détruit les symboles religieux et interdit le culte, suivant l’objectif de Voltaire d’anéantir l’influence de l’Église. Ce projet s’intensifie avec la Terreur. La République maçonnique adopte alors des méthodes brutales pour asseoir son pouvoir. Un projet extrême, visant à exterminer les 27 millions de Français, est lancé afin de purifier la nation et instaurer un ordre républicain radical. Cette idée, portée par Louis Antoine de Saint-Just, un révolutionnaire de 24 ans, et soutenue par Robespierre, propose un carnage total pour éliminer toute opposition et reconstruire la société sur des bases nouvelles, en accord avec l’idéologie extrême de la Terreur.

Cette violence se concrétise notamment dans le massacre des Vendéens, lors de la guerre de Vendée de 1793 à 1796, un génocide orchestré par la République.

Les Vendéens, catholiques et royalistes, se révoltent contre la conscription et les réformes anticléricales, imposées par la Convention. La répression est impitoyable : les « colonnes infernales » de Louis Marie Turreau un fou furieux, dévastent la région, tuent entre 200 000 et 250 000 personnes, des villages entiers sont brûlés, des femmes et des enfants massacrés, et des exécutions de masse organisées, dans un carnage visant à écraser toute résistance, un génocide montrant la brutalité d’une République prête à tout pour imposer ses idéaux, une brutalité célébrée dans son hymne national.

Les archives de l’époque rapportent des témoignages de pratiques monstrueuses et macabres : le tannage de peau humaine. En 1794, sous la direction du chirurgien Jean-Joseph Sue, un atelier de Meudon tannait la peau de guillotinés avec de l’écorce de chêne, afin de fabriquer des culottes destinées à la cavalerie républicaine. À Lyon, après l’écrasement de la révolte fédéraliste en 1793, Joseph Fouché, représentant en mission, évoque également le tannage des peaux de contre-révolutionnaires exécutés, un fait relayé par Louis Prudhomme dans son ouvrage Histoire générale et impartiale des erreurs (1797). À Nantes, lors des noyades massives de 1793-1794 ordonnées par Jean-Baptiste Carrier, des témoignages — notamment ceux de Gracchus Babeuf dans ses écrits critiques — évoquent aussi des peaux de victimes tannées pour divers usages.

Par ailleurs, en octobre 1793, les révolutionnaires profanèrent les tombes royales de la basilique de Saint-Denis, exhumant les dépouilles des rois de France. Le corps d’Henri IV, remarquablement bien conservé, fut exhibé ; certains allèrent jusqu’à lui couper les doigts pour en faire des trophées, un acte rapporté par Alexandre Lenoir, conservateur chargé de la sauvegarde des monuments.

Étrangement, un siècle et demi plus tard, après la Seconde Guerre mondiale, des récits similaires réapparaissent. À la libération des camps, des journalistes et certaines figures sionistes, désireuses de dénoncer les horreurs nazies, relayèrent des accusations affirmant que les déportés, notamment à Buchenwald, auraient été utilisés pour fabriquer des objets tels que des abat-jour ou des reliures en peau humaine. Cependant, les enquêtes menées lors des procès de Nuremberg (1945-1946), sous la direction de procureurs comme Thomas J. Dodd, conclurent que ces objets étaient faits de cuir animal ou de tissu, et non de peau humaine. Des analyses ultérieures, dans les années 1990, confirmèrent ces résultats.

La Shoah signifie « catastrophe », mais, pour nos ancêtres, il est refusé de reconnaître qu’eux aussi ont vécu une Shoah…

Cet hymne, La Marseillaise, est composé en 1792 par Rouget de Lisle, initialement intitulé Chant de guerre pour l’armée du Rhin. C'est à la demande du maire de Strasbourg, un franc-maçon qu’il fréquente dans les loges, que Rouget de Lisle, étant membre de la loge Les Frères Discrets à Charleville, compose un chant appelant à la lutte contre la tyrannie. Mais les paroles violentes, comme « Qu’un sang impur abreuve nos sillons », traduisent l’esprit de la Terreur. Bien que Rouget de Lisle, emprisonné sous la Terreur pour ses sympathies royalistes et ayant combattu en Vendée, voie son œuvre adoptée par les révolutionnaires, La Marseillaise devient un symbole de la République franc-maçonne.

Quant au bonnet phrygien, emblème majeur de la Révolution française, est porté par Marianne, figure de la République. Ce symbole est bien plus qu'un simple signe de liberté. Il puise ses racines dans des traditions antiques et initiatiques, notamment le culte de Mithra, une divinité indo-iranienne. Mithra, dont le culte était centré sur l’idée de régénération spirituelle, est représenté coiffé de ce même bonnet phrygien. Ce lien entre le bonnet et l’initiation est crucial, car il traduit l’idée de transformation profonde, propre à un groupe d’élites spirituelles.

Lors de la Révolution, le bonnet phrygien devient le symbole de l’homme nouveau prôné par les révolutionnaires, à l'instar des idées de Saint-Just et Robespierre. Cet "homme nouveau" n'est pas un citoyen ordinaire, mais un individu régénéré, libéré des structures anciennes et des dogmes religieux. Cette vision rejoint l’idéal maçonnique de transformation spirituelle réservé à une élite initiée.

Les francs-maçons, qui ont joué un rôle central dans la Révolution, voient dans l’idée de "l'homme nouveau" une forme d’élévation réservée à leurs membres. Cette élite, initiée à des mystères profonds et affranchie des contraintes sociales et religieuses, cherche à imposer une nouvelle forme de société. Le bonnet phrygien, à ce titre, symbolise non seulement la liberté, mais aussi cette transformation réservée à ceux capables de comprendre la vérité maçonnique.

En réalité, cette vision de la Révolution, incarnée par la figure de Marianne, n’était pas destinée à tous. Bien que la République se soit présentée comme le porte-voix du peuple, les élites révolutionnaires, notamment les loges maçonniques, considéraient en vérité les masses populaires comme incapables de participer pleinement à ce projet. L’idéal de l’"homme nouveau", cher aux révolutionnaires, n’était réservé qu’aux initiés, à ceux capables de se détacher des anciennes croyances et hiérarchies.

Ainsi, le bonnet phrygien, loin d’être un simple symbole de la liberté pour tous, incarne aussi un projet plus exclusif et élitiste. Il représente une vision maçonnique de la République, où seule une élite initiée peut prétendre à la régénération spirituelle et sociale. Ce projet, symbolisé par la devise

"Liberté, Égalité, Fraternité ou la Mort".

La Mort, représente une menace bien réelle, pas seulement symbolique. Elle implique entre autres, l'élimination physique des traîtres ou opposants internes, parfois symbolisée par des gestes menaçant comme celui de l'égorgement, encore observé discrètement aujourd'hui, chez des personnalités lors d'émission télévisée comme l'a fait Attali dans ''Ce soir ou jamais'' annimée par Frédéric Taddeï.

Ce projet de déchristianisation, atteint son apogée avec la loi de séparation de l’Église et de l’État, promulguée le 9 décembre 1905, portée par des figures maçonniquesn comme Émile Combes et Aristide Briand, tous deux membres du Grand Orient de France.

Cette loi met un coup d’arrêt définitif, à la culture chrétienne en France. La laïcité étant la religion des francs-maçons, c'est outil a remplacé au fil des décennies le chrétienté par l' idéologie maçonnique qui prône la neutralité religieuse de l’État, tout en favorisant leurs propres valeurs. Ainsi, les églises ont été vidées de leur influence, les écoles publiques sont devenues laïques, et les symboles chrétiens ont été bannis des espaces publics, achevant ainsi, l’objectif de Voltaire d’écraser l’Église catholique et, transformer la France en une nation où la foi maçonnique domine sous couvert de laïcité.

Au fil des décennies, certaines familles juives sionistes, souvent liées aux réseaux maçonniques, ont adopté des patronymes chrétiens pour accéder à des positions de pouvoir en France. Cela a permis à des individus comme Adolphe Crémieux (de son nom de naissance Isaac-Jacob), ministre de la Justice et membre du Grand Orient de France, de jouer un rôle clé dans l’édification des institutions républicaines.

En 1870, Crémieux soutient le décret qui accorde la citoyenneté française aux juifs d'Algérie, mais exclut les musulmans, qui restent sous le statut d’indigénat. Cette discrimination, largement facilitée par des élites influentes, met en lumière comment les réseaux de pouvoir, qu'ils soient maçonniques ou autres, ont utilisé leur position pour façonner les lois à leur avantage, consolidant leur influence tout en marginalisant les populations musulmanes.

de la Révolution à la IIIe République, a ainsi été largement construite sur des bases maçonniques, un processus dont l’impact délétère perdure.

La devise « Liberté, Égalité, Fraternité » a été revendiquée par le Grand Orient de France en 1849. Des figures comme Louis Blanc, franc-maçon, figure importante du mouvement socialiste utopique au XIXe siècle, l'ont fait devenir un pilier des idéaux républicains.

La franc-maçonnerie a joué un rôle déterminant dans la chute de la monarchie, l'établissement de la République et la marginalisation des autres communautés. L'Affaire des fiches de 1904, où le Grand Orient fichait des officiers antirépublicains, a confirmé cette emprise sur les institutions. L'armée, encore influencée par des idées monarchistes, s'opposait souvent à la République.

Pour contrer cette menace, le Grand Orient a surveillé ces officiers pour défendre l'ordre républicain. Cependant, cette ingérence a été perçue comme une tentative excessive de contrôler les institutions politiques.

Évidemment, les Rothschild toujours dans l’ombre et prêts à faire des mauvais coups, réécrivent l’histoire pour effacer leur rôle central dans la Révolution et les événements qui suivent, contrôlant les récits officiels, minimisant leur influence et celle des réseaux maçonniques, tout en manipulant les institutions pour maintenir leur pouvoir.

Cette emprise, consolidée par des lois et des discriminations orchestrées par une élite républicaine, a transformé la France en un outil de leurs ambitions mondialistes.

Ce projet s’inscrit dans une volonté criminelle : éradiquer la civilisation chrétienne européenne. Par l’avortement, légalisé en 1975 sous l’égide de Simone Veil, ces élites amputent la natalité des Français chrétiens, héritiers de l’identité traditionnelle. Veil affirmait que de telles lois suffiraient à changer la mentalité des Français, faisant de l’avortement un outil de transformation sociale.

Chaque année, environ 200 000 avortements – soit près de 25 % des naissances potentielles – affaiblissent le renouvellement des générations européennes. Dans le même temps, ces élites favorisent une immigration massive de populations non chrétiennes, encouragée par des politiques laxistes depuis les années 1970.

Ce double mécanisme s’aligne sur le projet Kalergi, un plan sioniste et maçonnique visant à dissoudre les nations européennes par le métissage et le multiculturalisme. Ainsi, la République assassine la France, orchestrant le "grand remplacement" de la civilisation catholique. Elle trahit ses racines par une laïcité maçonnique qui glorifie la mort et l’effacement de notre histoire. Pour cette raison, je ne chanterai plus jamais La Marseillaise, hymne de la Terreur. Je ne saluerai plus ce drapeau tricolore, symbole du massacre de nos ancêtres vendéens et royalistes, ni ne rendrai hommage à une République qui souille l’âme de la France éternelle.

 

Mélodie Rg.

       

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