
Depuis l'enfance on nous a appris que la "France" est une entité millénaire, née des cendres de Rome avec Clovis en 481, consolidée par Hugues Capet en 987. Une continuité sacrée, un roman national impeccablement ficelé ! Mais si je vous dis que ce n'est qu'un mensonge ? Un effacement délibéré, une supercherie cartographique et linguistique pour briser les peuples et imposer un pouvoir centralisé, opaque et vorace ?
L'histoire doit être revue et corrigée, telles les chronologies qui sont falsifiées, les cartes truquées et les mémoires volées. L'histoire nous révèle une vérité explosive !
La Gaule n’a jamais disparu, elle a été reléguée aux "calanques grecques", son rôle minimisé et son influence éclipsée ! Et ce qui porte aujourd'hui le nom de "France" est une façade, une construction idéologique au service d'élites qui nous méprisent et qui sont bien décidés à nous détruire.
J'ai plongé dans les archives, ces greniers poussiéreux des Bibliothèques Nationales, où les cartes anciennes, crachent des Vérités que les manuels scolaires étouffent. Si vous voulez vraiment les connaître, lisez ces livres anciens qui témoignent du passé. Les élites parasites ne s'imaginent pas que vous irez les chercher dans ces endroits ou en ligne !!
Vous tomberez sur des trésors qui font voler en éclats tous leurs mythes. Vous devez faire table rase des leçons lisses sur l'unité nationale.
Prenez cette carte de 1607, gravée par Gerard Mercator et Jodocus Hondius, intitulée simplement Gallia. Il n'y a Pas de "France" en vue. Ce territoire composite n'est qu'une mosaïque de provinces autonomes : Poictou, Aquitaine, Bretaigne des entités distinctes, sans capitale unique, sans frontières rigides imposées par Paris.
Le Poictou (poitou) était le cœur battant de la Chrétienté.


TRADUCTION : Nouvelle description de la Gaule, corrigée entièrement en plusieurs endroits, et présentant les principales villes des princes de la Gaule telles qu’elles sont habitées."


TRADUCTION : La Gaule Royaume d’Europe des plus célèbres, divisé avec précision en ses provinces. Avec privilège Par Guillaume Blaeu. 1622 =(i622) Le terme "Regnum Europae celeberrimum" insiste sur la renommée de la Gaule dans l’Europe du XVIIᵉ siècle.
Puis, un demi-siècle plus tard, on y trouve une carte anonyme datée entre 1650-1700, qui ose le titre «Gallia, Le Royaume de France, et Frontières ».
La Gaule est encore là, juxtaposée à ce "Royaume de France" naissant, comme un fantôme qu'on tolère avant de l'exorciser. Ses voisins ? Toujours nommés Hispaniae, Germania, Italia, Britannique, ce sont des catégories antiques encore vivaces, pas cette abstraction moderne qu'est la "France".

Carte de 1640
Le nom "France", n'apparaît que tardivement, comme une greffe sur le tronc gaulois.C'est comme la transition du franc à l'euro en 2002 : pendant des mois, les deux monnaies coexistent sur les étiquettes, jusqu'à ce que le franc s'efface des mémoires. Vingt-trois ans plus tard, les jeunes n'ont connu que l'euro. Pareil pour la Gaule, on l'a laissée traîner sur les cartes jusqu'au XVIIe siècle, puis pouf ! Disparue. Pas de fin naturelle, pas de bataille décisive. Juste un effacement volontaire pour forger une "continuité" qui n'existe que dans les fantasmes républicains.

Quand le mot “France” apparaît sur une carte de Gallia, il ne désigne ni un royaume unifié, ni une nation homogène. Il désigne une région, centrée autour de Paris. Sur la carte ci-dessus, “France” montre que ce nom désigne une zone géographique précise, pas l’ensemble du territoire gaulois. Cela confirme que “France” n’est pas encore une entité englobante en 1607 ( i607), mais une zone parmi d’autres, greffée sur un territoire toujours nommé Gallia. “France” ne représente pas une nation, mais une tentative de centralisation autour de Paris, encore fragile. C’est la preuve cartographique que la France de 2000 ans ou la France éternelle, n’a jamais existé ! Elle est une construction tardive, imposée par effacement.
“France” et “francs-maçons” ne sont pas une coïncidence phonétique : elle révèle une superposition idéologique, une refondation symbolique du territoire.
“Francs” dans “francs-maçons” ne renvoie pas aux Francs germaniques de Clovis, mais à la notion de libre (francus en latin médiéval), c’est-à-dire libéré des corporations et des dogmes.
La Révolution de 1789 a permis aux riches marchands et négociants de libérer les prix des denrées, notamment du grain, en abolissant les contrôles et les corporations qui limitaient leur marge. Cette libéralisation, votée dès 1790, a favorisé un marché libre où les plus fortunés ont pu spéculer sans entrave, au détriment des classes populaires.
C’est la dérégulation des métiers, la fin des prix encadrés et des solidarités artisanales. Les marchands peuvent désormais fixer librement leurs tarifs et contourner les régulations locales. C’est aussi la liberté du commerce des grains (loi de 1790) : le blé devient une marchandise spéculative, que les négociants peuvent stocker, exporter et vendre au prix du marché, même en période de disette.
La suppression des barrières féodales et des douanes intérieures facilite la circulation, augmentant les profits des grands commerçants. Il en résulte que les petits producteurs perdent leurs protections locales. Alors dire que franc veut dire libre, pour les parasites, c’est le moins que l’on puisse dire… Depuis, ils n’ont pas cessé de s’engraisser sur le dos du peuple.
“France'', en revanche, est historiquement censée dériver du royaume des Francs. Mais ce lien est instrumentalisé pour donner une légitimité antique à une construction moderne. La franc-maçonnerie, apparue en France au début du XVIIIe siècle, a été un vecteur de rationalisation, de centralisation et de laïcisation du territoire.
L'idée d'une France éternelle depuis Clovis ? C'est une fable !.
L’histoire officielle inverse tout, elle prétend que la France existe depuis 1500 ans, alors qu’elle n'en a que 500 en tant qu'entité politique. En réalité, c’est la Gaule qui a structuré ce territoire pendant plus de 1500 ans, avec ses langues, ses peuples et ses réseaux. Ce renversement permet d’effacer Gallia et de faire croire à une continuité fictive. Restaurer les 1500 ans de Gaule, c’est redonner à notre pays, sa mémoire réelle.
Les documents historiques, de César à Ortelius, parlent de Gallia, pas d'un royaume franc préfabriqué. C'est une invention pour légitimer un pouvoir central qui broie les identités locales. La dite Révolution a Enterré définitivement la Gaule, et c'est le Triomphe des Publicains Khazariens. Exit les provinces gauloises ; bonjour les départements uniformes, ces prisons administratives numérotées comme des cellules.

La carte fiscale de 1791, réalisée par Buache pour Le Peletier de Saint-Fargeau, représente visuellement la répartition des contributions départementales, avec un damier central évoquant les codes maçonniques et une grille territoriale rationalisée pour appuyer la réforme de l’impôt.
La République impose des "citoyens" abstraits, un modèle fiscal vorace qui ressuscite les pratiques des publicains bibliques, ces collecteurs d'impôts haïs dans les Évangiles, traîtres au service d'un empire étranger (Matthieu 9:10-11 ; Luc 5:27-32). Les Romains sous-traitaient la rapine à ces intermédiaires cupides, qui se gavaient sur le dos du peuple. Sonnez la cloche ! C'est exactement le système républicain ! Contrôle opaque, taxes centralisées, élites déconnectées. Et qui tire les ficelles ? Certainement pas les Gaulois. Ce sont les Francs-Maçons, avec leur imaginaire gréco-romain factice, qui diffusent une universalité administrative, coupée des racines.
Dans l'histoire revue et corrigée, ce modèle puise aux racines khazariennes, ces nomades turcs convertis au judaïsme au VIIIe siècle, artisans d'un empire commercial impitoyable. La "Mafia Khazarienne" pointent un réseau occulte : collecteurs d'impôts globaux, effaceurs de peuples autochtones, bâtisseurs d'empires fantoches. La Révolution n'est pas gauloise; c'est un coup khazar-publicain, recyclé pour Paris ce qui a marché à Byzance ou à Kiev.
Quand Macron le poudré liquidateur, nous traite de "Gaulois réfractaires" (discours du 4 mai 2018). Ce n'est sans doute pas par hasard, Il sait ! Ils savent tous, que la Gaule couve encore sous leur matrice République Française et dans nos résistances viscérales. Et ils haïssent ça.
Le Latin était le vecteur des noms antiques : « Gallia, Provinciae », il domine les cartes, les traités et les actes jusqu'au XVIIe siècle. L'ordonnance de Villers-Cotterêts (1539) impose le français aux tribunaux, mais le latin persiste dans les sciences (jusqu'au XVIIIe) Dans la religion, il ne disparaîtra qu’au XXe siècle, avec Vatican II (1962-1965). Pourquoi ce glissement ? Pour enterrer la Gaule définitivement, avec ses mots. Sans latin, les archives deviennent illisibles pour le commun des mortels. Seuls les initiés savent décrypter cette langue qu'on nous a dit morte.
Mais avec l'IA aujourd'hui, on peut enfin traduire et ressusciter ces reliques. Et ce qu'on y trouve ? Une histoire différente.

Comme vous pouvez le voir sur cette carte, la “France” n’était qu’un petit royaume centré autour de Paris, dirigé par Hugues Capet à la fin du Xe siècle. Son autorité était très limitée : la plupart des territoires de la Gaule, restaient sous le contrôle de seigneurs puissants et indépendants, et des régions comme le Poitou où Poitiers conservaient une influence stratégique, culturelle et religieuse majeure. Hugues Capet n’était donc pas un roi absolu, mais plutôt une figure symbolique et locale, comparable aujourd’hui à un président de région, influent dans son territoire mais loin de contrôler l’ensemble du pays.
Trois siècles plus tard, Philippe le Bel, né en 1268, descendant direct de Hugues Capet, régnait à son tour sur ce même petit royaume. Son pouvoir restait limité, mais il put le renforcer grâce à des mariages stratégiques, alliances et influences sur les seigneurs locaux. Malgré cela, les régions continuaient à exercer une influence majeure, et la Gaule restait chrétienne et lumineuse.
D’après ce que j’en déduis, le conflit entre Philippe le Bel et les Templiers, et en particulier l’exécution de Jacques de Molay, est le nœud gordien. Les Templiers, à la fois puissants et gestionnaires de fonds à l’échelle européenne, ont été arrêtés et exécutés, les autres sont partis en Espagne et au Portugal. Avant de partir, ils ont transmis leurs secrets aux francs-maçons, donnant naissance à un réseau influent et discret qui a abouti entre autres, à la Révolution. Ce réseau a ensuite été prolongé et infiltré par les Illuminati, eux-mêmes liés à la dynastie Rothschild, qui était l’organe financier principal. Ce noyau franc-maçonnique et d'illuminati a orchestré l’effondrement de la monarchie capétienne et effacé la chrétienté du territoire.
Lors de l’exécution de Louis XVI le 21 janvier 1793, un homme aurait sauté sur l’échafaud juste après la chute de la guillotine. Il aurait plongé sa main dans le sang royal, l’aurait levée devant la foule, et crié : « Jacques de Molay, tu es vengé ! » .Voltaire a résumé sa haine de l’Église en un cri célèbre : « Écrasez l’Infâme ».
la revanche contre la dynastie capétienne avait été accomplie même si Louis XVI appartenait à sa branche secondaire. Le jour où sa tête est tombée, les francs-maçons auraient considéré que Jacques de Molay était vengé, montrant au monde que la revanche contre la dynastie capétienne avait été accomplie.
Pour situer sa filiation, rappelons que Hugues Capet, est élu roi en 987, n'ayant pas d'héritier mâle, sa lignée s’éteint en 1328, avec la mort de Charles IV le Bel. La couronne est alors passée à son cousin Philippe VI, ouvrant la branche des Valois. Après leur extinction, les Bourbons prennent le relais en 1589 avec Henri IV. Louis XVI, descend de cette branche bourbonienne, elle-même issue des Capétiens.
Toujours est-il que, selon mes déductions, un fil rouge relie ces événements. Celui de la vengeance et de la rétribution. L’exécution de Louis XVI et de sa famille, bien qu’il appartenait à une branche secondaire de la lignée capétienne, préfigure un schéma que l’on retrouve plus tard en Russie avec l’assassinat du tsar Nicolas II et de toute sa descendance. Dans les deux cas, une fois leur dynastie éliminée, le cours de l’histoire sera profondément modifiée. Nathan de Rothschild, avait fait la promesse au tsar Alexandre Ier « de l'éliminer lui et sa lignée jusqu’au dernier'' pour avoir refusé qu'une banque Rothschild soit implantée dans son empire. En 1917, La révolution bolchevique sera fomentée par les sbires des descendants de Nathan de Rothschild. Pendant la période de l'union soviétique, la Chrétienté a été interdite, les églises détruites, et les chrétiens assassinés, qui font écho chez nous, au génocide vendéen et de la destruction de l'église.
Dans cette perspective, l’avènement du pouvoir central français, efface la Gaule chrétienne et éternelle. Anatoli Fomenko, mathématicien russe, montre que les repères temporels ont été falsifiés. Mille ans ont été ajoutés aux chronologies officielles, pour asseoir une légitimité politique et dissimuler les racines anciennes. La substitution du “I” originel (Ieshua) par le “J” (Jésus) efface symboliquement les traces visibles de la chrétienté primitive. On retrouve encore les preuves de ces manipulations dans les manuscrits, cartes et inscriptions conservés sur Gallica, où les formes anciennes d’écriture et de datation contredisent le récit imposé. Ces événements traduisent une vengeance historique et financière contre tous les héritiers de la Gaule que nous sommes.

À partir du XVIIe siècle, la Gaule disparaît des textes officiels, remplacée par “France”. Les chiffres romains, jusque-là marginaux, sont codifiés dans les titres royaux et les inscriptions symboliques pour rattacher la monarchie à Rome. C’est à ce moment précis que mille ans sont ajoutés à la chronologie, comme l’a démontré Fomenko, pour effacer les racines gauloises et chrétiennes et imposer un récit impérial falsifié.
En fin de compte, la France est le gui qui étouffe le chêne qu’est la Gaule éternelle, toujours vivante dans ses racines, sa culture et sa spiritualité, mais écrasée par le pouvoir centralisé et les manipulations historiques.
Mélodie Rg
31/10/2025